Voilà, le moment est enfin le bon pour prendre la mer, cap vers les Açores...
Après d'ultimes réparations ( changement de l'alternateur et du répartiteur) et réglages -merci à Frédéric pour ses compétences et sa bonne humeur-, nous voilà équipés d'un système de production d'énergie jamais égalé à bord ! On va pouvoir faire travailler notre troisième "homme" d'équipage, le pilote automatique - baptisé "Raymond" par Isa, devinez pourquoi !- à fond et surtout la nuit sans crainte qu'il vide les réserves d'électricité à bord !
Hier soir, nous avons fait nos adieux à notre repaire, le bistrot de la gare, situé comme il se doit...sur le port !et à son hyperactif et délicieux serveur Laurent, qui n'en finissait pas de nous offrir part de pizzas, tournée du patron et autres digestifs : un rêve de bistrot ! D'où on a pu apercevoir John Mc Enroe - que les moins devingt ans ne peuvent pas connaître !- , trop chouette !
Bref, le bateau est full : gasoil, eau, avitaillement et courage de l'équipage sont au taquet !
On vous dit donc rendez-vous dans trois semaines aux Açores si les vents nous sont favorables !
Après d'ultimes réparations ( changement de l'alternateur et du répartiteur) et réglages -merci à Frédéric pour ses compétences et sa bonne humeur-, nous voilà équipés d'un système de production d'énergie jamais égalé à bord ! On va pouvoir faire travailler notre troisième "homme" d'équipage, le pilote automatique - baptisé "Raymond" par Isa, devinez pourquoi !- à fond et surtout la nuit sans crainte qu'il vide les réserves d'électricité à bord !
Hier soir, nous avons fait nos adieux à notre repaire, le bistrot de la gare, situé comme il se doit...sur le port !et à son hyperactif et délicieux serveur Laurent, qui n'en finissait pas de nous offrir part de pizzas, tournée du patron et autres digestifs : un rêve de bistrot ! D'où on a pu apercevoir John Mc Enroe - que les moins devingt ans ne peuvent pas connaître !- , trop chouette !
Bref, le bateau est full : gasoil, eau, avitaillement et courage de l'équipage sont au taquet !
On vous dit donc rendez-vous dans trois semaines aux Açores si les vents nous sont favorables !
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