Et voilà, un week-end en voiture à faire le tour de l'île, histoire d'apprécier son originalité...
Petite présentation d'ensemble : en deux mots, Lanzarote, c'est pelé ! Il ne pleut que rarement, et surtout, l'île est dominée par son passé volcanique. 1730 : 6 ans d'éruptions continues (ex : une montagne en une nuit !), plus de 100 cônes volcaniques, des coulées de lave et de la cendre partout, ça laisse des traces, forcément !
Rebelote en mode mineur en 1824, bref, on s'attend presque à se brûler quand on touche la lave ! D'ailleurs, ils font de la viande rôtie sur volcan au resto du site de Timanfaya !
Visite du site protégé des volcans en bus sur une route apocalyptique, large comme un essieu, avec par endroits des a-pics et des montées bien raides : chapeau le chauffeur, merci les freins, et du waouh plein les mirettes !
Extrait de Wikipédia : « Le , entre les neuf heures et les dix heures du soir, la terre s'ouvrit à Timanfaya, à deux ligues de Yaiza… et une énorme montagne s'éleva du sein de la terre », selon le témoignage du curé Lorenzo Curbelo. L'île se transforma entièrement. Dix villages furent enterrés, et pendant six ans la lave s'étendit au sud, couvrant un quart de l'île et recouvrant les plaines alentour de cendres volcaniques.En 1824, les éruptions reprirent à Timanfaya. S'ensuivirent de terribles famines, et une bonne partie de la population se vit obligée d'émigrer.
Une petite vidéo trouvée sur le net pour les vulcanologues en herbe (comment faire un geyser en une leçon ?).
Rebelote en mode mineur en 1824, bref, on s'attend presque à se brûler quand on touche la lave ! D'ailleurs, ils font de la viande rôtie sur volcan au resto du site de Timanfaya !
Visite du site protégé des volcans en bus sur une route apocalyptique, large comme un essieu, avec par endroits des a-pics et des montées bien raides : chapeau le chauffeur, merci les freins, et du waouh plein les mirettes !
Pour le reste, l'île est d'une propreté pimpante (ils repeignent tous les mois ma parole !), gens sympas, espagnol souhaité, mais anglais souvent proposé, puis allemand, puis enfin français...
Voilà, une jolie étape dans notre périple...
Extrait de Wikipédia : « Le , entre les neuf heures et les dix heures du soir, la terre s'ouvrit à Timanfaya, à deux ligues de Yaiza… et une énorme montagne s'éleva du sein de la terre », selon le témoignage du curé Lorenzo Curbelo. L'île se transforma entièrement. Dix villages furent enterrés, et pendant six ans la lave s'étendit au sud, couvrant un quart de l'île et recouvrant les plaines alentour de cendres volcaniques.En 1824, les éruptions reprirent à Timanfaya. S'ensuivirent de terribles famines, et une bonne partie de la population se vit obligée d'émigrer.
Une petite vidéo trouvée sur le net pour les vulcanologues en herbe (comment faire un geyser en une leçon ?).
les vignes : devinez d'où vient le vent ? |
La route au milieu d'une coulée de lave... |
On a adoré notre voiture de loc ! |
Un lac vert sur la plage noire bordée de rochers rouges... |
Comme à Sidi Bou, couleurs obligatoires, mais ici c'est blanc et vert |
non, pas du sable, de la cendre ! |
Était-ce bien la peine de faire tout ce chemin ? Ça ressemble, non ? |
cratère de volcan effrondré : l'un des cent cônes volcaniques |
Matmata ? non, Haria ! |
Le nord de l'île : vue sur la Graciosa |
et les graciosos ! (on peut rêver, non ?) |
La Graciosa vu du "mirador del Rio" |
Entre mer et volcan |
Un coin de paradis entre lave et sable blanc |
Il va flotter moins bien, forcément ! (tag de squelette top !) |
Rigolo, tant que ce n'est pas le nôtre !!!! |
Un avant-goût des Caraïbes... |
Un abri de plage contre le vent dominant et ...permanent ! |
Maison paradisiaque dans un paysage infernal ! |
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