Nous sommes à la voile depuis hier soir à 17 h 30. Nous avons très bien avancé durant toute la nuit, grâce à notre spi (une pointe à 11,7 noeuds !).
Au matin, le vent a tourné, plein vent arrière.
Nous avons parcouru 220 miles (à 16 h 30) depuis notre départ hier matin. Ça nous convient !
Nous avons grée le tangon pour le génois et j'ai remis le frein de bôme pour éviter les empannages intempestifs, qui peuvent être dangereux pour le gréement.
Le pilote automatique gère le bateau très bien ! C'est vraiment un avantage.
C'est du boulot ! Nous allons tous les deux à l'avant du mât, avec bien sûr nos gilets de sauvetage et les lignes de vie capelées. Pendant ce temps, N otre troisième équipier, le pilote auto, assure le cap.
Nous avançons comme cela, les voiles en "papillon", depuis lors. On est un peu roulés par la houle, mais nous sommes bien amarinés tous les deux.
Je dois (re)dire que j'adore naviguer ...
Notre test pour les durées de sommeil semble plutôt concluant. Isabelle a assuré la veille de 21 heures à 1 heure 30 et j'ai pris le relais jusqu'à 6 heures.
On va reconduire le système ce soir, pour voir si c'est tenable sur plusieurs jours.
Nous avons croisé un seul bateau de plaisance, qui faisait route au moteur vers les Caraïbes.
À part cela, un goéland égaré et un poisson volant (un exocet) suicidaire qui est venu mourir dans le cockpit ... on n'a rien vu ! Enfin rien ... je me régale de cette solitude, de la vue des vagues, du ciel, des nuages ... je ne m'ennuie pas un seul instant.
Les autres bateaux de la flottille sont sans doute à proximité - les vitesses sont variables -, mais on n'en a vu aucun depuis notre départ. Le site "Sail the Odyssey", "Barbados 50" affiche les positions sur une carte.
Au matin, le vent a tourné, plein vent arrière.
Nous avons parcouru 220 miles (à 16 h 30) depuis notre départ hier matin. Ça nous convient !
Nous avons grée le tangon pour le génois et j'ai remis le frein de bôme pour éviter les empannages intempestifs, qui peuvent être dangereux pour le gréement.
Le pilote automatique gère le bateau très bien ! C'est vraiment un avantage.
C'est du boulot ! Nous allons tous les deux à l'avant du mât, avec bien sûr nos gilets de sauvetage et les lignes de vie capelées. Pendant ce temps, N otre troisième équipier, le pilote auto, assure le cap.
Nous avançons comme cela, les voiles en "papillon", depuis lors. On est un peu roulés par la houle, mais nous sommes bien amarinés tous les deux.
Je dois (re)dire que j'adore naviguer ...
Notre test pour les durées de sommeil semble plutôt concluant. Isabelle a assuré la veille de 21 heures à 1 heure 30 et j'ai pris le relais jusqu'à 6 heures.
On va reconduire le système ce soir, pour voir si c'est tenable sur plusieurs jours.
Nous avons croisé un seul bateau de plaisance, qui faisait route au moteur vers les Caraïbes.
À part cela, un goéland égaré et un poisson volant (un exocet) suicidaire qui est venu mourir dans le cockpit ... on n'a rien vu ! Enfin rien ... je me régale de cette solitude, de la vue des vagues, du ciel, des nuages ... je ne m'ennuie pas un seul instant.
Les autres bateaux de la flottille sont sans doute à proximité - les vitesses sont variables -, mais on n'en a vu aucun depuis notre départ. Le site "Sail the Odyssey", "Barbados 50" affiche les positions sur une carte.
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